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Dans le cadre de mon Master 2 relations franco-italiennes, vous trouverez sur ce blog des informations relatives à l'agroalimentaire en général, et plus spécifiquement aux échanges franco-italiens.

Les pratiques alimentaires des consommateurs sont largement déterminées par leurs valeurs, leurs représentations et leur style de vie.
Faire connaître un vin ou un fromage ou une huile d’olive c’est aussi faire découvrir une culture, une histoire, une tradition, et parfois tout un savoir.
Dès lors comment réussir cette connexion entre produits et marchés ?
Comment pénétrer une culture différente, un autre style de vie ?
Comment mobiliser journalistes, relais d’opinion, réseaux de distribution ?

dimanche 27 novembre 2011

il menù dell'happy hour / Le menu de l'happy hour

Un cocktail, una manciata di noccioline, un po’ di patatine e alcuni stuzzichini. Tempo di qualche chiacchiera e, all’ora dell’aperitivo prima ancora di sedersi a tavola, si sono già ingerite quasi 700 calorie. Troppo, secondo l’Associazione dietologie italiani, se si pensa che un pasto completo a base di spaghetti al pomodoro, insalata mista e gelato alla frutta apporta meno calorie. Che fare allora per non rinunciare all’happy hour e non rovinarsi la linea ?
Ecco qualche piccolo accorgimento per non sforare le 400 calorie.


  • Evita i cocktail, vere e proprie bombe caloriche, e scegli invece un bicchiere di vino bianco frizzante che aiuta a stimolare i succhi gastrici e favorisce la digestione. Vanno bene anche il succo di pomodoro condito con mezzo cucchiaino di olio, sale e pepe, o una spremuta di arancia e pompelmo, priva di zucchero e ricca di vitamine, Sali minerali e fibre.
  • Da mangiare, preferisce un pinzimonio di verdura cruda, carote, ravanelli, sedano, finocchi e pomodori, che danno senso di sazietà. Oppure un piattino di verdure grigliate, melanzane, peperoni o zucchine, purché non grondanti di olio.Tra i salumi, ti puoi concedere una fetta di pane o due grissini con prosciuto, crudo o cotto, sgrassato o bresaola.
 
 
 
 
 
  • Un’altra alternativa salutare è l’aperitivo in stile giapponese : una porzione con tre pezzetti di sushi e tre di sashimi è ipocalorica, ricca di proteine e oméga 3.




Un cocktail, une poignée de cacahouètes, un peu de chips et quelques amuse-gueule. Juste le temps de discuter un peu, et à l’heure de passer à table on a déjà englouti pratiquement 700 calories. C'est beaucoup trop selon l’Association des diététiciens italiens ; d’autant plus si l’on pense qu’un repas complet composé de spaghetti à la sauce tomate, d’une salade mixte et d’une glace aux fruits apporte moins de calories. Alors comment faire pour maintenir l’happy hour tout en conservant la ligne ?
Voici quelques astuces pour ne pas exéder les 400 calories.


  • Evitez les cocktails qui sont de véritables bombes caloriques et dirigez vous plutôt vers un verre de vin blanc pétillant qui stimulera la production des sucs gastriques et favorisera la digestion. Si vous préférez les boissons non alcoolisées, optez pour un jus de tomates agrémenté d’une petite cuillère d’huile d’olive, de sel et poivre ou encore un agrume pressé sans sucre ajouté, riche en vitamines, sels minéraux et fibres. 



    • Grignotez des crudités à la croque au sel. Carottes, radis, céleris, fenouils et tomates vous donneront une sensation de satiété. Ou bien, préférez une petite portion de légumes grillés tels que les aubergines, les poivrons ou les courgettes, à condition qu’ils ne baignent pas dans l’huile d’olive.

      • Pour la charcuterie, accordez vous une tranche de pain ou deux gressins accompagnés de jambon cru ou cuit dégraissé ou de la bresaola (charcuterie italienne originaire du Nord de l’Italie faite de viande de bœuf dégraissé). 



        • Une alternative sans conséquence sur votre ligne pourrait être l’apéritif à la japonaise : une assiette de trois sushis et trois sashimi est hypocalorique, riche en protéine e oméga 3.

        Trovare sette ragioni per bere il caffè / Sept bonnes raisons de boire du café

        Il caffè ha tante proprietà. Non bisogna eccedere, naturalmente. Ma ecco sette ragioni per bere l’espresso. 

        1.     Riduce la depressione nelle donne. Un récente studio dell’Università di Harvard ha rivelato che le donne che bevono regolarmente caffè hanno il 20% di prbabilità in meno di soffrire di depressione. Studiprecedenti avevano mostrato che il consumo di caffè fa abbassare il rischio di suicidi. 

        2.     Difende dal cancro alla prostata. Da Harvard arrivano buone notizie anche per gli uomini : secondo uno studio, quelli che bevono sei o più tazzine al giorno (anche il decaffeinato) corrono molti meno rischi (il 60% in meno) di sviluppare un tumore alla prostata

        3.     Aiuta a prevenire il diabete. Molti studi hanno rivelato che il caffè aiuta a prevenire il diabete di tipo 2. Una revisione di studi pubblicata nel 2009 su Archives of Internal Medecine spiega, per esempio, che chi beve tre-quattro tazzine al giorno ha il 25% di possibilità in meno di sviluppare il diabete rispetto a chi beve meno di due caffè al dì.


        4.     Protegge dalle neoplasie alla testa e al collo. Una ricerca del 2010 dell’Università dello Utah, pubblicata su Cancer Epidemiology, biomarkers & Prevention, ipotizza che bere almeno quattro tazzine di caffè al giorno abbassi del 39% il rischio di cancro alla cavità orale o alla faringe. Il consumo di caffè è stato collegato anche a una riduzione del pericolo di tumori al cervello, al collo dell’utero e al fegato. 


        5.     Tiene lontano l’Alzheimer. Studi sui topi compiuti dal Florida Alzhzimer’s Disease Reasearch Centre hanno dimostrato che la caffeina abbassa i livelli di una proteina legata all’Alzheimer. Addiritura, sugli animali la caffeina ha un effetto « riparatore » sulla memoria intaccata dalla malattia. 

        6.     È uno scudo contro il tumore al seno. Un’altra buona notizia per le donne che amano il caffè : secondo uno studio del Karolinska Institute di Stoccolma, questa bevanda ha un effetto protettivo per il cancro al seno negativo al recettore per gli estrogeni. Si tratta di un sottotipo di tumore (25-30% dei casi) che non risponde al trattamento per ridurre la produzione di estrogeni, denominato anche ER-negativo. 

        7.     Diminuisce il rischio di ictus nelle donne. Secondo un altro studio del Karolinska Institute, fatto su 35mila donne, basta bere uno o due caffè per abbattere del 22% il rischio di ictus.


        Les propriétés du café sont si nombreuses. Naturellement, il ne faut pas en abuser. Mais voici sept bonnes raisons de savourer un expresso. 

        1. Il réduit la dépression chez les femmes. Une étude récente de l’Université d’Harvard a révélé que les femmes qui boivent régulièrement du café ont 20% de probabilité en moins de souffrir de dépression. Des études précédentes avaient mise en évidence que la consommation de café diminuait le risque de suicides. 

        2.     Il protège du cancer de la prostate. Les hommes ne sont pas en reste non plus de bonnes nouvelles. Selon une étude de l’Université d’Harvard, les hommes consommant six tasses par jour ou plus (décaféiné compris) courent moins de risques (60 %
        en moins) de développer une tumeur de la prostate. 




         3.     Il réduit le risque de diabète. De nombreuses études ont révélé que le café réduisait le risque d’apparition de diabète de type 2. Une révision des études publiées en 2009 dans Archives of Internal Médecine explique, par exemple, que ceux qui boivent trois ou quatre tasses de café par jour ont 25% de chance en moins de développer du diabète par rapport à ceux qui en boivent moins de deux tasses. 

        4.     Il protège contre les tumeurs au cerveau et au col de l’utérus. Des recherches effectuées en 2010 par l’Université de l’Utah et publiées dans Cancer Epidemiology, biomarkers & Prevention, émettent l’hypothèse que boire au moins quatre tasses de café par jour diminuerait de 39% le risque de cancer de la cavité buccale et du pharynx. La consommation de café est également associée à une réduction des tumeurs du cerveau, du col de l’utérus et du foie. 

        5.     Il retarde la maladie d’Alzheimer. Des études effectuées sur des rats par le Centre de Recherche sur la maladie d’Alzheimer (Florida Alzheimer’s Disease Research Centre) ont démontré que la caféine abaissait le taux d’une protéine liée à la maladie d’Alzheimer. Plus encore, la caféine a un effet « réparateur » sur la mémoire des animaux détruite par la maladie. 

        6.     C'est un bouclier contre la tumeur du sein. Une autre bonne nouvelle pour les femmes qui aiment le café : selon une étude de l’Institut Karolinska de Stockholm, cette boisson a un effet protecteur contre le cancer du sein à récepteur d’œstrogènes négatifs. Il s’agit d’une sous-catégorie de tumeur du sein (25-35% des cas), qui ne répond pas au traitement visant à réduire la production d’œstrogènes, appelée aussi ER-négatif. 

        7.     Il diminue le risque d’ictus chez les femmes. Selon une autre étude de l’Institut Karolinska effectuée sur 35 000 femmes, il suffit de boire un ou deux café pour diminuer de 22% le risque d’ictus.

        Alle scuole medie si insegnerà la buona tavola / les bonnes habitudes alimentaires feront l'objet d'un enseignement au collège

        Pasta, frutta, verdura & co. Diventano materia di studio. Lo prevede un protocollo d’intesa siglato da Federalimentare, l’associazione di categoria delle industrie alimentari, e il ministro dell’Istruzione. Da gennaio 2012 ; in 77mila classi delle scuole medie sarà insegnata l’educazione alimentare in ogni sua sfaccettatura. Niente voto in pagella, però : l’insegnamento avverà con un approccio trasversale in ogni materia. Gli insegnanti di scienze approfondiranno i processi produttivi, quelli di geografia le tipicità del territorio, quelli di storia i progressi in campo agricole e via così. La nuova materia vuole insegnare a un totale di un milione e 600mila alunni i dettami di un’alimentazione equilibrata e di un’adeguata attività motoria. I primi a sedere nei banchi sono stati gli insegnanti, già coinvolti in corsi di formazione per aggiornarsi sulla nuova materia.



        Pâtes, fruits, légumes et compagnie sont devenus l’objet d’une matière scolaire. C'est ce que prévoit un protocole d’accord signé par l’association des industries alimentaires, Federalimentare, et le ministre de l’éducation. A partir de janvier 2012, 77 000 classes de collèges suivront des cours d’éducation alimentaire sous toutes ses facettes… Cependant, aucune note n’apparaitra dans le bulletin scolaire : l’enseignement consistera en une approche transversale de chaque matière. Les professeurs de sciences approfondiront les processus productifs, les professeurs de géographie enseigneront les spécificités territoriales et les enseignants d’histoire traiteront des progrès dans le domaine agricole et ainsi de suite. Cette nouvelle matière a pour objectif d’inculquer, à un total de 1 600 000 élèves, les bases d’une alimentation équilibrée et de l’activité physique appropriée. Les premiers à y avoir droit ont été les enseignants eux-mêmes, déjà convoqués en cours de formation pour mettre à jour leurs connaissances.  


        samedi 26 novembre 2011

        il pesce aiuta a prevenire la demenza senile / La consommation de poisson protège contre la démence sénile

        Mangiare pesce con regolarità aiuta a prevenire il rischio di demenza senile. I benefici, in base a uno studio inglese, condotto dalla Northumbria Universty di Nexcastle, deriverebbero dall’assunzione dei preziosi Oméga 3 che, se assimilati dall’organismo per tanto tempo, incrementano il flusso di sangue al cervello, migliorandone i tempi di reazione e riducendo i livelli di stanchezza mentale. I ricercatori, sull’edizione online del British journal of nutrition, sono giunti alla conclusione che gli effetti positivi possono rappresentare una vera barriera contro l’insorgenza delle varie forme di demenza senile e di declino conitivo.

        Une étude anglaise menée par des chercheurs de la Northumbria University de Newcastle démontre les bienfaits de l’apport des précieux Oméga 3 qui, s’ils sont assimilés par l’organisme depuis un certain temps, augmentent le flux sanguin vers le cerveau, améliorant ainsi le temps de réaction et luttant contre le surmenage intellectuel. Dans la version en ligne du British Journal of nutrition, des chercheurs sont parvenus à la conclusion que ces effets positifs peuvent représenter un véritable obstacle à l’apparition de diverses formes de démence sénile et de déclin cognitif.   

        La glicemia si misura con l'iPhone La glycémie se mesure grâce à l'iPhone

        Si chiama iBGStar ed è un glucometro, cioè un apparecchio portatile di ultima generazione per misurare l’insulina, che si collega direttamente all’iPhone e all’iPod touch. Lanciato sul mercato da Sanofi Aventis, iBGStar permette, grazie a un sistema di misurazione basato sull’elettrochimica dinamica, una misurazione precisa della glicemia, compensando i diversi fattori di interferenza, come la temperatura esterna o l’altitudine, che possono distorcere i risultati degli esami fai da te. Usando la tecnologia integrata all’iPhone o all’iPod touch, sarà poi possibile scaricare i risultati del test e condividerle con il proprio medico. Per i diabetici che hanno meno confidenza con le nuove tecnologie, c'è un altro glucometro di Sanofi Aventis, di più semplice utilizzo ma non per questo meno preciso : si chiama BGStar e impiga solo sei secondi per misurare il livello di glicemia. « Anche il controlo è una terapia », commenta Maria Liugia Mottes, presidente dell’Associazione diabetici della provincia di Milano. « L’educazione all’automonitoraggio della glicemia permette ai diabetici una migliore gestione della propria malattia. È fondamentale la scelta del corretto glucometro in base Allemagne proprie esigenze : si tratta di un oggetto personale che deve vestirsi addosso al paziente ».

        On l’appelle l’iBGStar et c'est un glucomètre ; c'est-à-dire un appareil de dernière génération capable de mesurer la glycémie. Il s’agit d’un module se branchant directement au port connecteur de l’iPhone ou de l’iPod Touch. Lancé sur le marché par les laboratoires Sanofi Aventis, l’iBGStar permet, grâce à un système de mesures basé sur l’électrochimie dynamique, une évaluation précise de la glycémie ; et ceci tout en prenant en compte d’éventuels facteurs parasites, comme la température externe ou l’altitude, qui seraient susceptibles de fausser les résultats si l’on utilisait un glucomètre classique. Grâce à la technologie intégrée à l’iPhone ou à l’iPod, il est possible de transmettre ses données directement par voie électronique à son médecin. Pour les diabétiques se méfiant des dernières technologies, il existe un autre glucomètre des laboratoires Sanofi Aventis de plus simple utilisation mais pas moins précis pour autant. Appelé BGStar, il lui suffit de six secondes pour mesurer le taux de glycémie. « Se contrôler est également une thérapie », commente Maria Luigia Mottes, présidente de l’association des diabétiques de la province de Milan. « L’éducation à l’auto-monitorage de la glycémie permet aux diabétiques une meilleure gestion de leur maladie. Le choix du glucomètre n’est pas anodin : c'est un objet personnel que le patient doit avoir en permanence sur lui ».

        Le malattie digestive in Italia, il punto sulla situazione epidemiologica e assistenziale

        Il 40% della popolazione soffre dei cosiddetti “disturbi funzionali” dell’apparato digerente quali, ad esempio, i disturbi digestivi e la sindrome dell’intestino irritabile, affezioni non gravi ma mediamente non curabili e caratterizzate da un alto tasso di cronicità.

        Questi disturbi funzionali incidono sulla qualità di vita ed hanno rilevanti implicazioni sociali ed economiche quali costi per la ricerca diagnostica al fine di escludere patologia organica, elevata inappropriatezza nella richiesta e nell’esecuzione di metodiche diagnostiche, perdita di giornate lavorative, prescrizioni farmacologiche.

        Ogni anno, inoltre, il 15% degli italiani viene visitato dal Medico di Medicina generale per malattie digestive, che sono la causa di 1 ricovero ospedaliero su 12.
        Ne consegue che tra le malattie digestive anche per patologia di non elevatissima incidenza si può stimare un impatto per il Servizio Sanitario Nazionale assai elevato.
        “Questo quaderno dedicato alla programmazione dell’assistenza alle malattie digestive evidenzia la centralità delle patologie dell’apparato digerente nell’ambito della programmazione sanitaria, in quanto caratterizzate da un elevato tasso di cronicità che determina una richiesta di continua assistenza medica e ripetuti ricoveri”.
        A sottolinearlo è il Ministro della salute, Prof. Ferruccio Fazio, intervenuto, il 7 giugno 2011 , al Convegno “Le malattie digestive in Italia” dedicato alla presentazione del nono volume della collana “Quaderni del Ministero della Salute”.
        Le malattie digestive interessano una molteplicità di ambiti medici con la necessità che ad affrontarle siano diverse figure specialistiche (lo specialista in gastroenterologia ed endoscopia digestive che deve essere anche esperto in oncologia digestiva e medicina d’urgenza).
        Questa complessa situazione richiede un’attenta organizzazione fra le attività del territorio e le attività ospedaliere che permetta di ottimizzare le risorse garantendo una corretta attività assistenziale.
        Il nono volume dei Quaderni del Ministero della Salute, pertanto, si prefigge di fare il punto sulla situazione epidemiologica e assistenziale delle malattie digestive in Italia e intende fornire indicazioni utili alla creazione di una rete assistenziale che consideri le diverse facce delle malattie digestive e, dopo la presa in carico del medico di medicina generale, indirizzi il paziente verso i nodi specialistici idonei, in un’ottica di percorso verticale dalle situazioni funzionali alle patologie gravi.
        Tutto ciò allo scopo di ottenere migliori risultati clinici e diminuire il costo delle malattie digestive per il Servizio Sanitario Nazionale.

        Data pubblicazione: 15 giugno 2011

        Mangi meno pasta se cominci con l’insalata. / Mangez moins de pates en commençant par une salade.

        Vuoi mangiare meno pasta ? commincia il pranzo con un’insalata. Uno studio recente della Pennsylvania State university conferma che lattuga o pomodori frenano la fame e le abbuffate di rigatoni. I ricercatori hanno verificato, oltretutto, sperimentandolo su 46 donne, che si mangia il 26 % ortaggi crudi in più quando sono serviti comme prima portata, piuttosto che come contorno. « L’insalata contiene una buona quantità di fibre indigeribili che riempiono lo stomaco, lasciando minore spazio a cibi più calorici », dice Alessandra Bordoni, docente di scienza dell’alimentazione all’Università di Bologna. « In più, siccome le foglie devono essere masticate, al cervelo arrivano segnali che fanno scattare in anticipo il senso di sazietà ».

        Vous souhaitez manger moins de pâtes ? Commencez votre repas avec une salade. Une étude récente de l’agence Pennsylvania State university confirme que la laitue ou les tomates freinent la faim et la ruée vers les pâtes. Des expériences menées sur 46 femmes ont confirmé qu’elles mangeaient 26 % de légumes en plus ci ceux-ci étaient servis en entrée plutôt qu’en accompagnement. « La salade contient une bonne quantité de fibres non digérables qui remplissent l’estomac, laissant ainsi moins d’espace aux aliments plus caloriques », affirme Alessandra Bordoni, docteur en sciences de l’alimentation à l’Université de Bologne. « En plus, comme les feuilles doivent être mastiquées, les signaux de satiété arrivent plus rapidement au cerveau. »

        I pericoli del sushi / Les dangers du sushi

        I prodotti di origine asiatica contengono elevati livelli di iodio e possono contribuire al malfunzionamento della tiroide. È quanto rivelano i dati divulgati dalla Food Standards Australia New Zealand : pare che in un rotolino di sushi siano 92 microgrammes di iodio. Secondo le linee guida dovremmo assumere non più di 150 microgrammi di iodio al giorno, perciò se mangiamo due rotolini di sushi, abbiamo già superato la dose massima, a tutto rischio della tiroide.

        Il consumo di sushi in Italia è aumentato desl 35 % negli ultimi cinque anni.                                                                          La consommation de sushis en Italie a augmenté de 35 % ces  cinq dernières années..  

        Les produits d’origine asiatique contiennent des taux élevés d’iode et peuvent contribuer au mauvais fonctionnement de la tyroïde. C'est ce que révèle les données publiées par l’agence Food Standards Australia New Zealand : un sushi contiendrait 92 microgrammes d’iode. D’après les recommandations sanitaires, la dose journalière à ne pas dépasser est de 150 microgrammes ; or cette dose est déjà atteinte en mangeant seulement deux sushis. Aux dépends de la tyroide !

        mercredi 23 novembre 2011

        Le repas en Italie

        Depuis des siècles et bien avant l’unification de l’Italie, la cuisine italienne tient une place importante dans le panorama de la gastronomie mondiale. Au XVème et XVIème siècle, l'Italie de la Renaissance bénéficie des cuisiniers les plus créatifs et les plus talentueux qui portent la cuisine italienne à un très haut degré de raffinement et de prestige. La diffusion de la cuisine italienne en Europe est alors assurée par le mariage de Catherine de Médicis avec le futur roi de France Henri II et l’arrivée, avec elle, de plusieurs chefs de cuisine italiens à la Cour de France.
        A l'image de la diversité qui caractérise l’Italie, la gastronomie italienne se compose d’une abondance de spécialités régionales. Cuisine populaire ou princière, du Piémont ou de Calabre, de Vénétie ou des Pouilles, l’essentiel de la cuisine italienne réside toujours dans des produits authentiques et une structure commune : le repas.
        Un repas italien n’est pas, comme en France, structuré autour de trois plats.
         
        Le menu italien est traditionnellement 
        organisé en quatre plats :
        1. Antipasti
        2. Primi Piatti (premiers plats) 
        3. Secondi piatti (seconds plats)
        4. Dolci/frutta (desserts ou fruits) 


         1.     Gli antipasti

        On peut traduire par « avant le repas ». Ce sont des hors d’œuvre, ou des amuse-bouche servis à l’apéritif. Les apéritifs italiens sont innombrables. Citons pour les plus célèbres le Vermouth, les cocktails classiques mais aussi les vins pétillants comme le Lambrusco rouge ou le Prosecco blanc.

         

                                                                                                                                                                     
        Les antipasti sont très variés et comptent des spécialités propres à chaque région d’Italie. On peut lister :

        - Les charcuteries : prosciutti (jambons), mortadella, salami (saucissons), coppa, etc.

        - Les légumes à l’huile, vinaigre ou conservés dans du sel : Carciofini (petits cœurs d’artichauts à l’huile), olives noires et rouges, petits oignons, etc.

        - Les fruits de mer et poissons : salade de fruits de mer, poulpe, sardines, etc.

        - Les snacks à base de pain : Taralli, Grissini, Bruschette,Crostini, Pane Carasau. Il existe une multitude de spécialités boulangères de ce type en Italie. Elles accompagnent souvent les antipasti, les salades, les charcuteries et les fromages.

        - Les pâtés à base de légumes, viandes, poissons : ceux-ci se tartinent souvent sur des Bruschette ou des Crostini.
           

        2.     I Primi (piatti) 
        C’est le plus souvent un plat de pâtes, mais également de risotto voire de polenta ou de minestrone (soupe).

        - Les pâtes : la pasta est incontournable dans le menu italien. Elle demeure le plat préféré des italiens qui n’en consomment pas moins de 28 kilos par an et par personne. Plus de 300 types de pâtes sont recensés en Italie. Pasta fresca (fraîche) ou Pasta secca (sèche), il est donc impossible de toutes les citer. Les régions du Nord (Emilie Romagne, Piémont) ont souvent des
        spécialités de pâtes fraîches à la crème (Tortiglioni, Ravioli, Lasagne, Gnocchi, etc) alors que les pâtes sèches sont une tradition répandue dans beaucoup de régions du centre et du Sud. Cette Pasta secca est la plupart du temps à base de semoule de blé dur. Cependant on trouve des variantes sans gluten (pasta al Farro, al Kamut) ou au sarrasin. Les pâtes sèches sont réparties en pâtes longues (Spaghetti, Tagliatelle, Tagliolini, Papardelle) ou pâtes courtes (Penne, Orecchiette, Farfalle). Les pâtes aromatisées ou colorées sont également en développement : Pâtes tricolores, pâtes aux truffes, al nero di seppia, al peperoncino, etc.

        Des incertitudes demeurent quant à l’origine des pâtes. Selon la légende, Marco Polo aurait, le premier, apporté à Venise des nouilles en provenance de Chine en 1295. Mais les pâtes pourraient avoir existé en Italie bien avant, comme en attesteraient des bas reliefs étrusques sur un tombeau datant d’avant J.-C. sur lequel figureraient des instruments pouvant avoir servi à la fabrication des pâtes. On trouve également mention de lagana dans la littérature grecque et latine, notamment dans l’Art Culinaire d’Apicius datant du Vème siècle, mais sans pouvoir déterminer avec certitude s’il s’agissait de lasagnes ou de tourtes.
          
        - Le riz : La culture du riz est très ancrée en Italie, dans la plaine du Pô (régions du Piémont et Lombardie). Les spécialités à base de riz sont nombreuses –salades, Risotti, Minestroni, accompagnement (riz Pilaf), desserts- et chaque type de riz cultivé correspond à une utilisation culinaire : Arborio, Carnaroli (le meilleur riz pour le risotto car il a de gros grains et cuit de façon homogène à l’intérieur et à l’extérieur) ou Venere (riz noir).

         

         



        - La polenta : A base de farine de maïs et d’eau, 
        la Polenta a été la base du repas dans les régions de montagnes
        ou du Nord de l’Italie (Val d’Aoste, Piémont, Lombardie, 
        Trentin Haut Adige, Frioul Vénétie Julienne, Abruzzes, Molise, etc). 




        3.     I Secondi (piatti)
                                                                                 
        Le second plat se veut moins copieux que le premier.
        Ils sont composés de viandes (secondi di carne) ou de poissons (secondi di pesce).

        La garniture se choisit toujours à part : ce sont les contorni (salade verte, salade composée, salade de tomates, légumes). 





        I formaggi
        Les fromages concluent les plats salés. L'Italie est la seconde patrie du fromage après la France. Si le choix peut sembler moins important que dans l’hexagone, l’Italie compterait tout de même 450 fromages !

        Parmi les centaines de spécialités régionales, dont bon nombre bénéficient d’une Appellation d’Origine Protégée (Denominazionni d’Origine Prodotte), on peut citer le gorgonzola, la mozzarella di Bufala campana, le parmigiano-reggiano et l’un des plus vieux fromages du monde : le pecorino romano, déjà connu du temps où les bergers occupaient la région de Rome il y a 2 000 ans.

        4.     I Dolci et I Biscotti                                
        Le dessert est rare en Italie. Les italiens préfèrent y céder en milieu d’après-midi.

        Tartes, gâteaux, fruits, le dessert est, à l’image des autres plats, très varié suivant les régions. I gelati (glaces) occupent également une place importante dans la gastronomie italienne, mais on les déguste le plus souvent dehors, en cornet ou en petite coupe à la gelateria. Elles sont l’un des desserts les plus répandus en Italie. Elles sont crémeuses et ont fait le tour du monde. Citons quelques parfums italiens fameux : Fior di latte (à base de crème), Cassata (avec des fruits confits), Stracciatella (aux pépites de chocolat), Café, Capuccino, Tiramisù. Les sorbets aux fruits ou les Granite (glace pilée aux arômes de fruits) sont également un plaisir très apprécié sous le soleil brûlant de l’été.

                                                                                                                                                                                         


         

        Des desserts comme le Tiramisù, assez récent, sont devenus des classiques de la gastronomie italienne dans le monde entier. Tout comme le sont le Panettoni, Pandoro ou Colomba particulièrement lors des fêtes de Noël ou de Pâques, mais de plus en plus tout au long de l’année.


          



        Beaucoup de desserts italiens sont à base de fruits et de préparations crémeuses, comme les Cannoli siciliens, la crème cuite Pannacotta, les crèmes à l’Amarena (cerises griottes en sauce).

        Enfin, chaque région possède ses spécialités de Biscotti, biscuits. Aux amandes (Amaretti de Sasselo en Ligurie, ou de Saronno en Lombardie, Cantucci en Toscane, Croccanti à Naples), aux noisettes, aux pignons de pins, etc.

        En Italie, on déjeune vers 13h voire plutôt 13h30.
        Le dîner se déroule quant à lui vers 21h.
        Les restaurants vous accueillent de 12h30 à 15h pour le déjeuner et de 19h à 23h (voire au-delà) pour le dîner.

        Le Bevande
        Les boissons phares de l'Italie sont le vin et le café.

        L’Italie est l'un des principaux producteurs de vins. Il existe une multitude de vins régionaux et les plus petites villes disposent de leur propre vin ("il vino della casa"). Les vins du nord de l'Italie, rouges et blancs, sont des plus fameux. Plusieurs vins répondent à la "DOC Valle d'Aosta", seule appellation d'origine contrôlée dans la région : citons l' "oltrepo paveser" (de Lombardie), le "barbera", le "dolcetto", le "grignoline", le "moscato d'Asti", le "gattinara" et le "barolo" (du Piémont).
        C'est en Emilie-Romagne qu'est produit le "lambrusco", ce vin pétillant et très doux si particulier. L' "amarone" est le vin rouge de Vénétie à découvrir et le "verdicchio" le meilleur vin blanc des Marches. Le Chianti est une spécialité locale dont la réputation dépasse les frontières de l'Italie. 


         





        On connaît également les alcools consommés comme apéritifs tel le Martini et des digestifs comme la grappa, les amari, ou le limoncello dont l'un des plus parfumés est fait à partir de citrons cultivés sur les pentes de l'île de Capri.

         




        Un repas italien s’achève sur un espresso, une autre des grandes spécialités italiennes.  
        Le café italien a depuis longtemps acquis ses lettres de noblesse et ceci grâce à trois maîtres.
         En 1933, Alfonso Bialetti dépose le brevet de la première cafetière à pression de vapeur -la « cafetière italienne », également appelée cafetière moka ou « moka express » - qui prépare un café corsé avec une eau portée à la limite de l’ébullition. Peu de temps après, l’italien Caliman invente la cafetière à piston. En 1948, c’est encore un italien, Achille Gaggia, qui achève d’inventer la machine à expresso (cela signifiait « fait à la demande expresse du client »). Cappuccino, machiatto, ristretto, lungo, le café italien connaît de nombreuses versions et fait partie intégrante du quotidien.

        Il peut vous être utile de connaître la traduction des différents formes du café : "un caffè ristretto" : un café serré, "un caffè lungo" : un café allongé, "un caffè macchiato" : un café mélangé à quelques gouttes de lait, "un caffelatte" : un café au lait. Sans oublier le cappucino (café et lait mousseux). Le café constitue en Italie un véritable rituel social et ceci surtout dans le sud du pays. Il existe même un "sommelier du café", le "barista", véritable spécialiste du café, il apprend les règles de l'art de la préparation de la boisson chaude.

        Les spécialités
        Parmi les spécialités de la cuisine italienne, il faut relever que la pizza n’entre pas dans la composition du repas traditionnel mais constitue un repas à elle toute seule. Elément fondamental de l’alimentation dans le bassin méditerranéen, la pizza a une histoire vieille de 3000 ans. Elle trouverait ses origines à Naples mais il faut attendre le XVIIIème siècle pour voir la pizza s’imposer dans les traditions culinaires napolitaines : on la dégustait alors debout dans la rue, près des fours en bois dans lesquels elle est cuite. Aujourd’hui la pizza est l’un des plats les plus populaires au monde et reste un pilier de la gastronomie italienne. Après avoir essayé d’inscrire la pizza au patrimoine de l’Unesco, l’Italie a créé un label « spécialité traditionnelle garantie » et publié les caractéristiques de la « vraie » pizza napolitaine dans le journal officiel italien en 2004. Trois recettes y sont reconnues : la marinara, avec de l'ail et de l'origan, la margherita, avec du basilic et de la mozzarella des Appenins du sud; la margherita extra, avec des tomates fraîches, du basilic et de la mozzarella di Bufala campana (Naples).
        Considérée comme la première pizza cuisinée, elle aurait été créée à Naples, sous le nom de pizza traditionnelle napolitaine.
        Elle doit son succès à l'initiative d'un pizzaiolo local qui décida de la préparer en se basant sur les couleurs du drapeau italien pour la Reine Marguerite de Savoie de passage à Naples en 1889 : le vert du basilic, le blanc de la mozzarella et le rouge des tomates.
        La Reine aurait tant apprécié cette pizza qu'on lui aurait donné son nom : la pizza Margherita !


        Moins connue que la pizza, la bruschetta est tout aussi simple et savoureuse quand elle est préparée avec des ingrédients naturels : du pain grillé, frotté à l’ail, mouillé d’huile d’olive et tartiné avec des tomates concassées… chacun peut y ajouter ce qu’il veut : de l’artichaut, des aubergines, du basilic, du thon, de la mozzarella, etc.